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Compagnie Pierre Gaspard

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« PALESTINE 1946 : Lettres de mon père » de Georges Blumberg.

Festival Avignon OFF 2016 

Après Gaston Chaissac en 2015, Pierre Blumberg donne cette année sa voix à la Palestine de son père ou «L’Histoire d’un juif qui fait une tentative d’installation non juive dans la Palestine de 1946 » :
Georges Blumberg est né à Paris en 1904 et décédé à Paris en 1987. Il fut, entre autres, traducteur et journaliste.

Extraits :
« A la fin de la guerre 39-45 qu’il a traversée en résistant, mon père Georges Blumberg, esprit libre et indépendant, un peu juif roumain quand même, décide de quitter la France pour s'installer en Palestine.
On est au printemps 1946, Israël naîtra en 1948.
Depuis la Palestine, Georges entretient alors une correspondance avec Léon Ghedalia, dit Licoah, son ami d'enfance resté à Paris : j’ai connu Licoah quand j’étais enfant et jeune adulte. J’ai gardé le souvenir d’un homme de petite taille, légèrement vouté, plein de douceur avec un regard tendre et pétillant et comme disait mon père « doté d’un système de nonchalance orientale ».
Au décès de mon père en 1987, j’ai retrouvé des pelures de machine à écrire, papier si léger mais dactylographié si dense, double des lettres envoyées à Licoah.
Je n’ai presque rien retrouvé des lettres de Licoah adressées à mon père, c’est donc pour moi une correspondance à sens unique.
Des nombreux feuillets en ma possession, j’ai extrait les moments que j’ai ressentis comme les plus parlants et les plus forts. En fait, je vais vous raconter une tranche de vie, mais parce que Georges ne faisait rien comme tout le monde, il s’est foutu dans le guêpier « Palestine, Juif, et pas encore Israël, ».

Ne serait-ce pas le même tryptique aujourd’hui qu’il y a 70 ans ?
Ici et maintenant, c’est de père en fils et de fils en père, juste retour vers un homme qui avait raison de tant aimer le pain azyme, avec du beurre.... et du jambon dessus. »

C’est un témoignage unique sur la situation d’alors par son originalité, son actualité et sa vision politique.
Un spectacle d’émotions, de curiosités et d’humour servi par la voix singulière de Pierre Blumberg.

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Vaucluse Matin : 14 février 2016

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Dauphiné Libéré

«J’en reste Sardine », extraits d’ Hippobosque au Bocage »

de Gaston Chaissac.

Festival Avignon OFF 2015

L’intégralité de ce spectacle sur : https://youtu.be/sgeyTB6wv3Q http://www.arts-spectacles.com/Festival-d-Avignon-Off-2015-J-en-reste-Sardine--par-Pierre-Blumberg-salle-Roquille-a-13ha11085.html

« Il y a dans le "Off", comme ça, des petites perles qu'il faut savoir aller découvrir:
Allez voir / écouter Pierre Blumberg à la salle Roquille : il dit, déclame, récite, lit, vit des textes de Gaston Chaissac, et notamment des lettres à ses amis peintres ou écrivains. La pureté du style, la poésie, l'humour, l'auto-dérision, la causticité de ces textes sont un pur régal bien servi par la voix unique de Pierre Blumberg.»
C'est tous les jours à la Salle Roquille, à 13h.
Bernard Renoux.

Avignon 2015 : le spectacle avec le meilleur bouche à oreille ; France Culture
Jean-Paul PAILLET 20.07.2015
Oui, sans doute... Le téléphone arabe fonctionne. Il fonctionne d'autant plus que les médias s'en mêlent... Alors viennent-ils à posteriori les médias, ou relèvent-ils l'événement avant même qu'il prenne consistance dans les bouches et les oreilles ?
Parce que là pour ignorer le phénomène il va falloir être manchot !
De passage à Avignon j'ai assisté au spectacle que donne Pierre BLUMBERG à la salle Roquille. Ce monsieur s'est emparé de lettres et de réflexions de Gaston CHAISSAC, c'est à savourer. Et les traits du père Gaston, dans la bouche du père Blum, c'est croustillant d'actualité... Ah ! L'académisme des académiciens ! Si c'est pas fayot ça Madame ! C'est d'la peinture...ou d'l'épluchure au fond dubuffet...

J'ai enfin réussi à voir ce spectacle. Pierre Blumberg avait présenté il y a quelques mois à la

Maison Jean Vilar une lecture de ces correspondances pétillantes. Désormais, subtilement mis en scène, Pierre Blumberg devient complice de Gaston Chaissac et porte son humour, sa pertinence et son bon sens provocateur en ciselant son interprétation. Une découverte passionnante de "l'intimité épistolaire" de cet artiste avec ses contemporains et pairs. Gourmand.

Frédéric Tort

"Je l'ai vu, textes improbables, mais spectacle magnifique"!

Un spectateur.

« Me suis régalé »

Un spectateur.

Un petit bijou de la littérature épistolaire (puisqu'il s'agit de lettres) mais pas que, publié dans "Hippobosque au Bocage" (Gallimard, 1951) : lettres de Gaston Chaissac, peintre, poète et écrivain terrien, à Dubuffet, Paulhan, Gallimard, Queneau et d'autres, traitant de sa créativité mais aussi d'un étonnant (et argumenté) sens critique !

Pierre BLUMBERG nous restitue si bien par ses "dictures" tout l'esprit, la précision, l'humour et la clairvoyance de Chaissac que l'on croirait voir l'auteur réfléchir, soliloquer, écrire, (se) convaincre, etc.
Un petite heure passionnante qui nous fait découvrir un artiste rare, à (re)découvrir, qu'il ne faudrait plus oublier !

revue-spectacles.com 24/07/15 Jean Yves Bertrand.

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Vaucluse Matin : 5 juillet 2015

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Vaucluse Matin : 23 octobre 2014

L’ALCHIMIE DU VERBE : 8 JUILLET 2016

 

https://alchimieduverbedotcom.wordpress.com/

 

 

Palestine 1946, Lettres de mon père

Au Théâtre de la Porte St-Michel, à 19h30

… « La pertinence ou plutôt la beauté des lettres est incontestable, le comédien Pierre Blumberg sur scène les lit, les transmet, gardant cette matière précieuse entre ses mains.

Habitué de ses formes de lectures que le comédien appelle lui-même des « dictures », les lettres s’amoncellent dans notre esprit et laissent peu à peu place à notre imaginaire, bientôt à notre conscience politique. La présence du comédien, son investissement dans le texte marquent de fait une des grandes qualités de ce spectacle.

La tranquillité et l’apaisement de sa voix reposent sur des assises puissantes.

Enfin, on ne peut que recommander une telle forme qui est loin d’être un seul en scène ou une simple lecture. Le partage est vrai, sincère, authentique et la puissance littéraire des lettres tant dans les descriptions du pays et de la vie quotidienne que dans les observations géopolitiques et religieuses devrait permettre à n’importe quel spectateur, aussi peu lettré qu’il puisse être, de consacrer ce spectacle comme un premier élément de réflexion par rapport à l’état d’Israël.»…

Raphael BAPTISTE

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